Pour fêtes les 25 ans de la balle GPA, nous avons développé une nouvelle ogive GPA destiné à la chasse à l’approche, la GPA Approche / GPA². C’est aussi pour moi l’occasion de faire un clin d’œil à Mr Carré, inventeur de la GPA avec Mr Quinsa.
Le principale reproche fait à la GPA est son coefficient balistique, peut adapter au tir à longue distance. C’est pourquoi nous avons étudier un profil le plus aérodynamique possible ainsi qu’une coiffe balistique en polycarbonate.
Ce qui caractérise le plus la balle GPA² est sans aucun doute son efficacité. Cette balle peut être présentée comme une balle à fragmentation programmée. La compression de fluide dans le canal central provoque dans un premier temps une déformation de la partie avant (champignonnage) qui triple le diamètre nominal du projectile puis, uniquement sous l’effet de la résistance se produit la séparation des pétales.
Une fois cette phase accomplie, les pétales s’écartent progressivement du noyau résiduel. Les pétales de très faible poids sont stoppées dans le corps de l’animal, alors que le noyau dur poursuit son chemin créant la plupart du temps un orifice de sortie. Cette sortie, ainsi que les lésions engendrées par les pétales, assurent une très importante hémorragie.
Les pétales assurent des lésions supplémentaires occasionnant une baisse de tension artérielle (supérieure aux projectiles classiques) provoquant un arrêt cardio-respiratoire.
Il est important de souligner que la pétalisation ne peut se produire sans la rencontre d’un corps liquide, contrairement à certaines idées reçues dépourvues de tout fondement.
De plus la GPA² est une munition constituée d’un alliage de cuivre, sans plomb, donc non toxique.